"Les antirétroviraux sont efficaces pour contrôler le virus.Il ne serait pas déontologique de soumettre des malades à un traitement aussi extrême", a-t-elle ajouté.
Dès la fin 2008, une première étude avait montré que le sida n'était pas réapparu chez ce patient, malgré l'arrêt de son traitement par antirétroviraux.
La thérapie connue sous le nom de « thérapie cocktail », qui utilise plusieurs médicaments antirétroviraux, peut avoir des effets négatifs si elle n'est pas administrée par des médecins compétents.