Souvenons-nous que c'est l'attachement aux idéaux de liberté et d'humanisme qui a rassemblé les nations du monde dans leur lutte commune contre le nazisme.
Malheureusement, celui-ci existe encore dans nombre de sociétés, y compris au sein de l'Union européenne et chez certains des principaux auteurs du projet de résolution.
Toute autre évaluation des actes qu'ils ont commis pendant la Deuxième Guerre mondiale constituerait une insulte à la mémoire des millions de victimes du nazisme.
Voilà pourquoi l'ONU et le Conseil de sécurité doivent être les principaux coordonnateurs de la coopération internationale dans la lutte contre la terreur, successeur idéologique du nazisme.
Jusqu'à ce jour, et avec une douleur toujours aussi forte, les Bélarussiens se souviennent des victimes qui ont donné leur vie au nom de la victoire sur le nazisme.
Une semaine avant son arrivée dans le pays, cependant, les auteurs du crime ont été arrêtés, ce qui signifie que l'impunité entre les groupes néonazis et racistes n'existe plus.
Il est particulièrement inquiétant que, depuis quelque temps, on salue en héros les SS estoniens et que les sentiments néo-nazis gagnent du terrain, alors que les antifascistes sont attaqués.