Le signal du départ fut aussitôt donné, et l’on s’enfonça dans la vallée de las Lejas, entre de grandes masses de calcaire cristallisé. On montait suivant une pente presque insensible.
On croira sans peine que ces intrépides voyageurs, après leur journée de repos passée sur l’ombu, ne se firent pas prier pour se remettre en route. À huit heures du matin, ils étaient prêts à partir.