Les violents orages qui se sont abattus sur la région ont «entraîné une pollution ponctuelle parfaitement naturelle», expliquait lundi la mairie : des rivières ont débordé de leur lit.
On y remarquait les traces de laves très-anciennes, qui probablement s’épanchaient par le sommet du cône, avant que cette crevasse latérale leur eût ouvert une voie nouvelle.