L'agriculture de subsistance est largement considérée comme une activité économique inefficace, un mode de vie âpre et risqué, avec peu ou pas de perspectives d'amélioration.
Mais, il fait aussi mention d'un article de presse concernant les plaintes des agriculteurs auxquels les cultures de substitution ne procurent que des gains insuffisants.
Grâce à des années de travail intensif, 1,25 milliard de Chinois ont pu faire un bond historique de la simple subsistance à une situation de confort relatif.
La technologie nucléaire pacifique peut contribuer à la réalisation des objectifs du Millénaire pour le développement en assurant le développement durable et une vie décente pour tous.
Depuis le début des années 70, le Gouvernement chinois fait des efforts considérables pour réduire la pauvreté, notamment en aidant 200 millions d'agriculteurs à assurer la sécurité alimentaire.
Pour les millions qui vivent à la marge entre subsistance et famine, les prix élevés des denrées alimentaires et de l'énergie peuvent en effet menacer leur survie même.
Dans une optique de parité, la question vaut d'être abordée, car la participation des femmes à ce type d'agriculture est généralement élevée, en particulier dans les PMA (encadré 3).
De façon opportune, Mme Bertini nous a rappelé que le rôle de l'aide alimentaire pouvait aller bien au-delà du but immédiat, qui consiste à nourrir une population souffrant de la faim.
Le rapport montre que, même dans certains PMA où les terres sont abondantes, les plus pauvres ont si peu accès à la terre qu'ils subsistent à peine grâce aux travaux agricoles de leur ferme.
Dans la pratique, on a constaté que la libéralisation du commerce pouvait faire reculer l'agriculture de subsistance lorsque les agriculteurs étaient capables de s'adapter à de nouvelles techniques de production et à de nouveaux produits.
Pendant plusieurs jours, des routes coupées, des éboulements de terrain et des inondations ont empêché les secours d'atteindre la population, qui a dû se débrouiller par des moyens rudimentaires.