Chaque groupe finissait souvent par imploser et donnait naissance à de nouvelles coalitions internes qui revendiquaient chacune des principes et des programmes uniques.
Après plusieurs jours d'affrontements dans la capitale, le président yéménite et des représentants de différents courants politiques, dont la rébellion chiite, se sont mis d'accord.
Les efforts régionaux et internationaux pour mettre fin aux combats en cours entre Israël et les factions palestiniennes à Gaza se poursuivent sans relâche.
C’est la première fois que le président du Sinn Féin, l’ancienne branche politique de l’Armée républicaine irlandaise, rencontre un membre de la famille royale britannique.
Un tel vote aurait l'avantage de venir sceller cette alliance encore fragile, cette coalition de partis traversée par des courants contraires qui ne s'assume pas.
Officiellement, la branche armée du parti de dieu est présente pour protéger les lieux saints chiites, comme le mausolée de Saida Zaineb près de Damas.
Deux membres des brigades Abou Ali Moustapha, branche armée du FPLP, le Front populaire de libération de la Palestine (FPLP), sont enterrés côte à côte.
Un premier gouvernement d'union nationale avait bien été désigné le 19 janvier dernier, mais il avait été rejeté par les deux Parlements rivaux et différentes factions.