La nation iranienne, derrière son guide estimé, conseille au Conseil de ne pas porter atteinte à la dignité de l'Organisation des Nations Unies et de l'AIEA.
Dans le commentaire également (par. 6, dernière phrase), la Commission indique que même dans le cas où l'État a recours à une telle procédure, il n'abandonne pas son droit d'exercer la protection diplomatique en faveur de son national.
Je voudrais maintenant m'adresser à ceux qui ont manifesté leur hostilité à l'égard de l'Iran durant ces cinq années et ont blessé et accusé mon peuple, eux qui ont contribué à l'histoire et à la civilisation du monde.