Les prévisions de dépenses tiennent également compte des économies (270 300 dollars) résultant d'un recours plus important aux transports terrestres pour acheminer les fournitures non périssables vers les bases d'opérations.
Sur le parking du supermarché détruit, ces volontaires sont venus chercher les denrées périssables pour les distribuer aux soldats sur la ligne de front.
Grâce au train, les Parisiens peuvent ainsi consommer des produits frais venus de toute la France, car le transport rapide permet de vendre des produits périssables là où c'était impossible auparavant.