L'utilisation aux fins d'un acte terroriste de substances inflammables, bactériologiques ou chimiques, d'engins explosifs ou d'armes à feu constitue une circonstance aggravante.
L’huile stockée et transportée dans le cadre de ce projet est le pétrole brut qui appartient aux produits chimiques dangereux inflammables et explosifs.
Des matières inflammables, notamment de l'huile alimentaire, avaient été distribuées aux réfugiés quelques jours auparavant et ont peut-être contribué à l'étendue des dommages.
Le procédé GS et le procédé d'échange ammoniac-hydrogène exigent la manipulation de grandes quantités de fluides inflammables, corrosifs et toxiques sous haute pression.
Ces composants peuvent être des liquides inflammables tels que des hydrocarbures, des éthers, des alcools, des esters (à l'exception des acrylates) et de l'eau.
Les caractéristiques H11 (Matières toxiques (effets différés ou chroniques)), H4.1 (Matières solides inflammables) et H13 sont utilisées dans 5 à 10 % des cas.
Des volontaires, aux côtés des pompiers, sont à pied d'oeuvre et essaient d'éteindre chacune des étincelles qui peuvent naître sur ces collines, très inflammables.
Il faut savoir aussi que certains de ces produits peuvent être dangereux pour le consommateur : des jouets inflammables ou des médicaments mal dosés ont eu des conséquences désastreuses.