Le soir du prêche, lorsque Rieux arriva, le vent, qui s'infiltrait en filets d'air par les portes battantes de l'entrée, circulait librement parmi les auditeurs.
Face à son miroir, en coiffant ses cheveux et en s'apprêtant à enfiler la tunique longue obligatoire pour les femmes, Farideh rêve d'un avenir sans entrave.
Le chemin était donc entièrement débarrassé d’obstacles, et Phileas Fogg n’avait donc que deux circonstances à redouter : une avarie à l’appareil, un changement ou une tombée du vent.