Naturellement, nous demeurons attachés à l'idée d'un Moyen-Orient exempt d'armes chimiques, biologiques et nucléaires, mais aussi de missiles balistiques.
Agir ou ne pas agir, voilà ce qui déterminera l'avenir du régime d'interdiction des armes biologiques bien au-delà de la cinquième Conférence d'examen.
Au sein des communautés des évents hydrothermaux, près de 500 nouvelles espèces animales ont été identifiées dont 90 % ne se trouvent nulle part ailleurs.
Toutefois, la pêche illégale, non réglementée et non contrôlée menace la mise en valeur écologiquement rationnelle des ressources marines vivantes (voir par. 245 à 259).
Même si les limites finies de la biosphère devaient inévitablement faire obstacle au processus de croissance illimitée, la crise climatique a probablement surgi trop tôt.
Il est également impératif de renforcer la Convention sur les armes biologiques par un protocole incluant des mesures de vérification internationale transparentes et non discriminatoires.
Par exemple, de nombreuses connaissances biotechnologiques se trouvent d'ores et déjà dans le domaine public et sont donc à la libre disposition de quiconque peut y accéder.
La pêche illégale, non déclarée et non réglementée en était une autre. Elles ont aussi insisté sur une gouvernance plus efficace des activités de pêche.
La pêche illégale, non déclarée et non réglementée demeure un obstacle majeur à la conservation et à l'exploitation durable de la diversité biologique du milieu marin.
Les problèmes généraux liés à la pêche illégale et non réglementée ne concernent pas seulement la Commission et les régions de l'océan Austral sous sa responsabilité.
On peut conclure à partir des données disponibles que la sensibilité des organismes marins et des organismes d'eau douce à l'égard du PeCB ne diffère pas sensiblement.
Nous avons agi ainsi parce que nous restons attachés à ce que le Moyen-Orient devienne une zone exempte d'armes chimiques, biologiques et nucléaires ainsi que de missiles balistiques.
Leur essor dépendra des progrès réalisés dans le cas de biocombustibles moins controversés, qui ne sont encore guère répandus (par exemple, biocombustibles produits à partir de déchets recyclés).
Car le striatum nous incite à croitre et à le satisfaire sans limite, il ne sait pas pauvret que la terre est une planète finie, il fait de nous une espèce parasite.