Les relations hétérosexuelles représentent 88 % de toutes les infections tandis que la transmission mère-enfant et les transfusions sanguines constituent le pourcentage restant.
Lors d’une relation sexuelle, si les partenaires ne connaissent pas leur statut sérologique, le seul moyen de protection est le préservatif masculin ou féminin.
C'est dans cet esprit que l'Organisation de coopération économique de la mer Noire a décidé de prendre des contacts exploratoires avec l'Alliance des civilisations.
Le plus alarmant, c'est le nombre élevé des infections sexuellement transmissibles classiques qui pourraient indiquer que l'on sous-estime le nombre des cas non déclarés.
La vulnérabilité des hommes qui ont des relations sexuelles avec d'autres hommes est essentiellement imputable à l'attitude négative de la société à l'égard de l'homosexualité.
Le contact sexuel reste le principal mode de transmission du virus, mais on observe également des contaminations en chaîne parmi les usagers de drogues injectables.
Mais si l’on dit que quelqu’un est contaminant, on imagine qu’il peut vous transmettre son mal par un contact particulier, sexuel notamment, pour les maladies sexuellement transmissibles.
S'ils acceptent un déploiement, les prisonniers doivent s'engager à ne pas consommer de drogues ou d'alcool et il leur est interdit de piller et d'avoir des « contacts sexuels avec les femmes, la flore, la faune ou les hommes locaux » .