Les agresseurs auraient également scandé ou crié d'autres slogans comme « à bas les Banyamulenge » et « nous devons exterminer les Banyamulenge, nous ne voulons pas qu'ils reviennent au Congo ».
Selon M. Hariri, le Président al-Assad avait ajouté que, dans ce cas, ils, les Syriens, « le feraient sauter », lui et tous les membres de sa famille, et qu'ils les trouveraient où qu'ils se trouvent dans le monde.