Aujourd'hui encore, ce mot est utilisé par les peuples indigènes qui parlent le nahuatl pour désigner à la fois les organes génitaux de l'homme et le fruit.
Mais après avoir retrouvé mes esprits je réfléchis plus calmement et j'en conclus que ça devait être des indigènes et que s'ils m'avaient vu, ils m'auraient peut-être tué.
Cet homme est l'un des 12 000 derniers Pataxo, un peuple indigène qui s'est longtemps battu pour conserver ses terres et qui vit aujourd'hui du tourisme.