Sans préjudice de ce droit, l'expérience récente a confirmé le rôle important des programmes nationaux de réparation au lendemain d'atrocités massives.
Les projets pilotes ont pour objectif d'apporter des informations en vue de la mise au point définitive du Programme national d'indemnisation et d'assistance.
Dans la pratique la plus récente, les commissions d'indemnisation et tribunaux nationaux ont généralement alloué des intérêts lorsqu'ils ont fixé le montant des indemnisations.
Ainsi, certaines délégations ont noté que la responsabilité (liability) de l'État était largement l'exception et n'était applicable que conformément aux dispositions de quelques conventions.
L'IDMC a également rendu compte de l'établissement du Conseil national des réparations, soulignant les problèmes survenus dans le processus d'enregistrement et l'allocation de fonds.
Par le canal du Programme national de réparation, le Gouvernement a accordé des réparations morales et économiques aux victimes du conflit et à leurs familles.
Dans la pratique la plus récente, les commissions d'indemnisation et les tribunaux nationaux ont généralement alloué des intérêts lorsqu'ils ont fixé le montant des indemnisations.
Les juridictions nationales, les commissions nationales des réclamations ou les commissions mixtes des réclamations établies à cette fin pourraient examiner les demandes et fixer le montant définitif de l'indemnisation.
D'autres ont estimé que si la solution ne pouvait pas être totalement écartée, cette éventuelle obligation subsidiaire de l'État ne pouvait apparaître que dans des circonstances exceptionnelles.
Le Comité prend également acte des efforts déployés par l'État partie en vue de la mise en œuvre du Programme national de réparations, destiné aux victimes de guerre.
Le Comité prend également acte des efforts déployés par l'État partie en vue de la mise en œuvre du programme national de réparation en faveur des victimes de guerre.
On a également soutenu que le régime devrait prévoir une « responsabilité absolue de l'État » au cas où l'exploitant est incapable ou peu disposé à prendre en charge la perte.
Les juridictions nationales, les commissions nationales des réclamations ou les commissions mixtes des réclamations établies à cette fin pourraient examiner les demandes et fixer le montant définitif de l'indemnisation.
De plus, les États sont invités à créer des fonds nationaux d'indemnisation des victimes et à rechercher d'autres sources de financement chaque fois que cela est nécessaire pour les compléter.