En Afrique subsaharienne, les obligations d'État sont à échéance courte et sont assorties de taux d'intérêt plus élevés que les emprunts internationaux.
En même temps, le commerce dans de nouvelles obligations, actions ou d'autres instruments financiers similaires d'une durée supérieure à 30 jours, émis par les dites banques, est interdit.
Cette décision aide à diversifier les émetteurs d'obligations en RMB et à élargir leurs canaux de financement en RMB, tout en encourageant l'utilisation transfrontalière de la monnaie chinoise, a expliqué la banque centrale.
Depuis le début de l'année, la banque Goldman Sachs a ainsi évalué à 50 milliards de dollars le montant des investissements obligataires, c'est-à-dire des investissements émis dans les titres de dettes, qui ont quitté les économies émergentes.