Il est clair que, pour les enfants, les femmes et les hommes de la Côte d'Ivoire, des volutes de fumée blanche et éclatante se sont élevées de Pretoria le 6 avril dernier.
Dans l’immense salle, les fumées devenaient rousses, trouées seulement par des ronds de soleil, des balles d’or, que les déchirures des rideaux laissaient passer.
Les flammes, tantôt s’élevaient à une prodigieuse hauteur et se perdaient dans l’embrasement de l’atmosphère ; tantôt, rabattues par l’ouragan déchaîné, elles enveloppaient l’ombu comme une robe de Nessus.
Mais bien vite cet amour s’éleva de nouveau en moi comme une réaction par quoi mon cœur humilié voulait se mettre de niveau avec Gilberte ou l’abaisser jusqu’à lui.