Selon certains renseignements, un des objectifs de cette attaque était d'atteindre l'hôpital militaire de Kamenge, mais les agresseurs n'y seraient pas arrivés.
Les discussions de paix entre le Gouvernement ougandais et l'Armée de résistance du Seigneur (LRA) se sont poursuivies sporadiquement sous l'égide du Gouvernement du Sud-Soudan.
À cet égard, les responsables gouvernementaux ont évoqué une initiative de paix récente qui, espéraient-ils, amènerait la LRA à quitter définitivement et pacifiquement le Sud-Soudan.
Pour aider le Conseil à envisager d'autres mesures et pour améliorer sa compréhension de ce qu'est la LRA, l'on pourrait envisager de nommer un groupe d'experts.
Au niveau national, l'Ouganda se bat tout seul et depuis maintenant longtemps contre les terroristes de la soi-disant Armée de résistance du Seigneur dans le nord du pays.
Néanmoins, les actes de représailles de la LRA contre les civils, notamment massacres, enlèvements et pillages, se sont poursuivis dans les secteurs de Faradje, Dungu, Diagbe et Doruma.
La mort des soldats de la paix guatémaltèques a mis tragiquement en évidence l'influence catastrophique que l'Armée de résistance du Seigneur continue d'exercer dans la région des Grands Lacs.
Les États-Unis sont encouragés par les négociations menées actuellement par le Gouvernement ougandais et l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), et nous en suivons les résultats avec grand intérêt.
Le Gouvernement soudanais a donc entraîné, armé et organisé la LRA en structures qui existent encore aujourd'hui, telles que les brigades de Gilva, Stockree, Trincle, Sinia et Control Alter.
J'invite les États Membres et les gouvernements de la région à examiner, ensemble ou à titre individuel, les mesures qu'ils pourraient prendre s'agissant des sources de financement de la LRA.
Les membres du Conseil ont également condamné les atrocités perpétrées par la LRA et demandé à la communauté internationale de contribuer davantage au règlement de la question relative à cette entité.
De plus, la reprise des combats en Ituri et les actions menées par la LRA dans le Haut-Uélé ont été à l'origine d'autres déplacements massifs de population dans la Province Orientale.
L'équipe de pays des Nations Unies a dûment rendu compte de cette évolution positive et, comme l'a reconnu le Représentant spécial, a recommandé que le Tatmadaw Kyi soit retiré de l'annexe II.