Aureliano progressait dans l'étude du sanscrit tandis que Melquiades se faisait chaque fois moins assidu et plus lointain, s'estompant dans l'éblouissante clarté de midi.
Il l'avait écrite en sanscrit, qui était sa langue maternelle, et avait chiffré les vers pairs à l'aide du code personnel de l'empereur Auguste et les impairs avec les codes militaires lacédémoniens.