L'école buissonnière, de mauvais résultats scolaires, l'abandon scolaire, l'abandon du foyer et la toxicomanie sont des caractéristiques du comportement communes à ces enfants.
Depuis de nombreuses années le gouvernement est déterminé à réduire l'absentéisme et à veiller à ce que les jeunes aillent jusqu'au bout de leur scolarité obligatoire.
Les études d'impact et de viabilité réalisées sur l'initiative WASH dans des écoles d'Afrique et d'Asie ont montré qu'une application réussie réduisait l'absentéisme parmi les filles.
Les bases ont été jetées avec le récent lancement d'une campagne contre l'absentéisme, une approche interinstitutionnelle coordonnée par la direction du bien-être scolaire du Ministère de l'éducation.
Bien qu'il soit difficile d'en être sûr, il est vraisemblable que des enfants qui n'étaient pas inscrits à l'école aient également quitté le camp sans qu'on s'en aperçoive.
Ce système, qui se connecte par l'Internet, permet aux enseignants, aux parents et aux administrateurs de suivre l'évolution de l'élève, en classe ou hors de l'école (absentéisme, retard, etc.).
Il est préoccupé par la diminution des inscriptions dans les écoles maternelles et par la persistance de taux élevés d'abandon, de redoublement et d'absentéisme dans les écoles primaires et secondaires.
Au cours de l'année écoulée, un certain nombre d'initiatives se sont poursuivies qui visent à encourager les élèves à rester à l'école et à donner aux établissements les moyens d'aider les élèves en difficulté.
Rien n'est prévu pour remédier au problème de la non-scolarisation et de l'absentéisme des enfants roms et manouches, comme la mise en place d'un système d'enseignants itinérants (non titulaires de classe) qui iraient à la rencontre des familles.
Conséquence, les femmes qui ne peuvent pas s'en procurer ne se rendent plus en cours lorsqu'elles ont leurs règles, et cet absentéisme répété devient facteur de décrochage scolaire.
Face à l'absentéisme récurrent durant la période des moissons et des vendanges, donc août et septembre, le pape Grégoire IX, qui a également crée l'inquisition, décide de fermer les facultés pendant 1 mois.