1."La recherche d'une pragmatique et de s'engager dans l'innovation, il est nécessaire de progrès, de haute qualité" est notre philosophie de la production.
2.En termes économiques, la diversification des productions nationales, la recherche d'économies d'échelle et le renforcement de la compétitivité sont des facteurs qui peuvent contribuer, de façon décisive, à la croissance économique et au développement.
3.Tout en reconnaissant l'importance des investissements étrangers directs (IED), le Groupe directeur a souligné que ces investissements devaient être concentrés sur des domaines entièrement nouveaux et créateurs de richesses productives au lieu d'être utilisés pour des fusions, des acquisitions ou des réinvestissements.
4.Les termes de l'échange intérieurs se sont davantage dégradés pour les agriculteurs des pays qui ont libéralisé leur économie, et le passage d'offices publics de commercialisation à des agences privées n'a pas augmenté la part des prix à l'exportation revenant aux producteurs.
5.Tenant compte du fait que la population malienne est à 70 % rurale et que l'agriculture représente 42 % du produit national brut du pays, le Gouvernement malien s'est engagé à faire de l'agriculture intensive le moteur du développement du pays, le coton y occupant une place prépondérante.
6.Étant donné que les activités agricoles représentent une part notable de l'économie des pays en développement, la voie recommandée pour sortir les zones rurales de la pauvreté consiste à créer des emplois décents mais aussi et surtout à accroître la productivité des activités agricoles et non agricoles.