Alors que cette catastrophe a laissé l'humanité pétrifiée d'horreur, on a rarement vu une telle unanimité dans la détermination à s'opposer à ces actes de terreur insensés.
Jamais de mon existence, je n’ai reçu un tel choc que quand je l’ai vu, la tête sur son épaule, me regardant en ricanant pendant que j’entrais par la fenêtre.
Elles ont alors incité la population civile à quitter les lieux, bien que manifestement les habitants avaient trop peur de partir en raison du bombardement permanent de Cana et des routes qu'ils auraient dû emprunter.