Après un long silence, Marowsko demanda si Jean, décidément, était en possession de sa fortune ; puis il fit encore deux ou trois questions vagues sur le même sujet.
Sur les moyens d’exécution, il se montrait plus vague, mêlant ses lectures, ne craignant pas, devant des ignorants, de se lancer dans des explications où il se perdait lui-même.
Elle s’était assise au bord d’un tabouret, se courbant en deux, allongeant les mains à droite, à gauche, avec des gestes ralentis, comme si elle se grisait de cette puanteur humaine, vaguement souriante, les yeux noyés.
Longtemps elle songea, la tête baissée, marchant du même pas que son fils, puis avec cette voix bizarre qu’on prend par moments pour conclure une longue et secrète pensée : — C’est vilain, la vie !