1.Du fait de l'absence de travail intéressant, de l'aridité et de l'éloignement des camps, il est presque impossible pour les réfugiés de gagner un revenu suffisant pour eux et pour leur famille.
2.En renforçant la capacité des plantes à résister au stress dû à des températures élevées et en augmentant leur tolérance au sel, on pourra améliorer le rendement de terres affectées par le changement climatique.
3.Dans le contexte de la régénération des terres dégradées, y compris la gestion intégrée des ressources en eau, l'UNESCO travaille sur un nouveau projet interrégional intitulé «Gestion durable des terres arides marginales (SUMAMAD)», au profit des pays d'Afrique du Nord et d'Asie.
4.La restauration des techniques traditionnelles de récupération des eaux de pluie et la reconstruction des structures de conservation d'eau telles que les endiguements, les réservoirs, les citernes souterraines, les réservoirs de réalimentation des nappes et les canaux d'irrigation ont permis, grâce à des efforts collectifs, de transformer des terres extrêmement dégradées en terrains productifs et en pâturages.
5.Nous reconnaissons que des abus ont été commis dans la gestion de nos pays par certains de nos gouvernements, mais nos détracteurs doivent se souvenir qu'ils ont également usé et abusé du pouvoir de leur gouvernement, quand ils s'emparaient de terres appartenant aux autochtones et exterminaient ces derniers en affirmant que c'était la « destinée manifeste », « le fardeau de l'homme blanc » d'introduire la civilisation tout en fondant leurs propres pays sur ces terres et en confinant les autochtones dans des réserves stériles, sans leur donner aucun rôle dans le gouvernement de ces nouveaux pays.